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Les quotidiens reçus mardi à l’APS évoquent différents sujets liés à l’ordonnance de non-lieu accordée à l’ex-sénatrice libérale, Aïda Ndiongue par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI), dans le cadre de la traque des biens supposés mal acquis, les remous dans la coalition présidentielle, etc. "Poursuivie pour enrichissement illicite, Aïda Ndiongue obtient un non-lieu", informe Vox Populi qui titre : "Aïda Ndiongue, un non-lieu après 4 ans de traque… et 17 prolongations d’instruction".

Le journal précise que "le long feuilleton Aïda Ndiongue a connu son épilogue hier (lundi)", en soulignant que l’ancienne mairesse des HLM (Dakar) a été "totalement blanchie" par la Commission d’instruction de la CREI. Me Seydou Diagne, un de ses avocats s’est dit "très satisfait" et a déclaré : "pour une fois, la justice sénégalaise est indépendante et impartiale et a pris son courage à deux mains", note Vox Populi. Pour Enquête, "C’est la délivrance pour Aïda Ndiongue.

Un accouchement pénible pour l’ancienne sénatrice libérale qui a dû travailler pendant 2 ans et 8 mois d’instruction et 17 prolongations avant d’accueillir son enfant : le non-lieu". Me Seydou Diagne a salué "le courage et l’indépendance des juges", en arguant que "ce n’était pas évident d’aboutir à un tel résultat avec ces 47 milliards d’accusation d’enrichissement illicite", rapporte la même publication.

Libération de son côté dit "avoir pris connaissance du contenu de l’ordonnance de la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) accordant un non-lieu total à Aïda Ndiongue mise en examen pour enrichissement illicite présumé". "En plus de +laver+ totalement l’ex- sénatrice libérale, renseigne le journal, la CI-CREI a ordonné la main levée sur les bijoux saisis dans ses coffres mais aussi sur la rondelette somme de 9 milliards de FCFA provenant d’une souscription de bons du trésor ivoirien arrivée à échéance depuis 2017."

"Non-lieu après 17 renvois. La CREI lave Aïda Ndiongue", titre L’As, "La CREI dans la lignée du TGI, de la Cour d’appel et de Cour suprême. Aïda Ndiongue, un non-lieu et après ?", s’interroge dans sa manchette Le Témoin. De son côté, Walfquotidien affiche : "La CREI lave l’ex-sénatrice. Ce rapport qui sauve Aïda Ndiongue". Enquête s’est intéressé aux remous constatés dans la mouvance présidentielle et titre : "Macky et la présidentielle 2019. La menace interne".

"Me Alioune Badara Cissé, Mimi Touré, Youssou Ndour, responsables +apéristes+ en divergence… Les sorties se font bruyantes dans le camp présidentiel. Simple agi-prop médiatique ou authentique frustration de membres et soutiens +apéristes+ ?", s’interroge le journal. "Macky Sall n’a pas à s’inquiéter que de l’opposition pour 2019", note Enquête. Analysant cette situation, Maurice Soudieck Dionne, spécialiste en sciences politiques déclare dans cette publication : "cette instabilité interne est dangereuse pour le président Sall".

Pour Pape Maël Thiam, administrateur de l’Alliance pour la République (APR, pouvoir), "Quelles que soient les querelles précédant l’échéance, le jour J, tous les membres de l’APR se confondent en un seul homme", lit-on encore dans Enquête. "+La nuit du Nord+ est tombée. L’obscurité se répand sur l’APR", affiche à sa Une La Cloche qui ajoute en sous-titre : "La vraie origine des petites querelles".

"L’épisode de +La nuit du Nord+ est en passe de faire vivre à la grande famille de militants et sympathisants de l’Alliance pour la République (APR) une série de heurts verbaux, de chiquenaudes médiatiques entre cliques constituées et, claques pour ceux qui ne sauront tracter à la borne-fontaine marron permettant de gicler à la bonne place, auprès du président de la République", analyse le journal. Il ajoute : "Et puisque dans cette nuit de fin de mandat tous les chats sont gris, c’est le branle-bas dans ce parti venu, à l’âge poupon au pouvoir, avec seulement ses dents de lait.

Et Youssou Ndour qui avait chanté ce jour-là, avec les encouragements pécuniaires de Cheikh Oumar Anne, une mélodie nocturne boréale, de se sentir comme poursuivi par des silhouettes qui grandissent pour lui faire de l’ombre devant cet arbre de Ndioum qui cache la forêt". Dans Source A, l’analyste-politique, Ibrahima Bakhoum tente pour sa part de décortiquer la sortie de Youssou Ndour.

"Chaque fois que des remarques comme celles formulées par Youssou Ndour ont été faites à un chef de l’Etat, celui-ci perd le pouvoir...", avance-t-il dans ce journal. Enquête s’est intéressé aux remous constatés dans la mouvance présidentielle et titre : "Macky et la présidentielle 2019. La menace interne". "Me Alioune Badara Cissé, Mimi Touré, Youssou Ndour, responsables +apéristes+ en divergence… Les sorties se font bruyantes dans le camp présidentiel. Simple agi-prop médiatique ou authentique frustration de membres et soutiens +apéristes+ ?", s’interroge le journal.

"Macky Sall n’a pas à s’inquiéter que de l’opposition pour 2019", note Enquête. Analysant cette situation, Maurice Soudieck Dionne, spécialiste en sciences politiques déclare dans cette publication : "cette instabilité interne est dangereuse pour le président Sall". Pour Pape Maël Thiam, administrateur de l’Alliance pour la République (APR, pouvoir), "Quelles que soient les querelles précédant l’échéance, le jour J, tous les membres de l’APR se confondent en un seul homme", lit-on encore dans Enquête. "+La nuit du Nord+ est tombée.

L’obscurité se répand sur l’APR", affiche à sa Une La Cloche qui ajoute en sous-titre : "La vraie origine des petites querelles". "L’épisode de +La nuit du Nord+ est en passe de faire vivre à la grande famille de militants et sympathisants de l’Alliance pour la République (APR) une série de heurts verbaux, de chiquenaudes médiatiques entre cliques constituées et, claques pour ceux qui ne sauront tracter à la borne-fontaine marron permettant de gicler à la bonne place, auprès du président de la République", analyse le journal. Il ajoute : "Et puisque dans cette nuit de fin de mandat tous les chats sont gris, c’est le branle-bas dans ce parti venu, à l’âge poupon au pouvoir, avec seulement ses dents de lait.

Et Youssou Ndour qui avait chanté ce jour-là, avec les encouragements pécuniaires de Cheikh Oumar Anne, une mélodie nocturne boréale, de se sentir comme poursuivi par des silhouettes qui grandissent pour lui faire de l’ombre devant cet arbre de Ndioum qui cache la forêt". Dans Source A, l’analyste-politique, Ibrahima Bakhoum tente pour sa part de décortiquer la sortie de Youssou Ndour. "Chaque fois que des remarques comme celles formulées par Youssou Ndour ont été faites à un chef de l’Etat, celui-ci perd le pouvoir...", avance-t-il dans ce journal.



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